Il est construit par IHI Marine United Yokohama Shipyard pour accueillir jusqu'à officiellement 14 hélicoptères et dispose de 5 spots sur son pont d'envol et remplace dans l'ordre de bataille de la marine japonaise le second destroyer de la classe Shirane. Il est destiné à la lutte anti-sous-marine, à jouer le rôle de navire-amiral et assurer un rôle de sauvetage. Il a un équipage de 470 personnes, peut transporter 450 passagers militaires et civils et pourra embarquer des V-22 Osprey de la force terrestre d'autodéfense japonaise. Il est équipé d'un sonar OQQ-22 et de deux lanceurs Raytheon RIM-116 Rolling Airframe Missile SeaRAM[2].
Selon un officier de la JMSDF, Asahi Shimbum, ces navires « renforcent la capacité à traiter avec les sous-marins chinois qui sont devenus plus difficiles à détecter ».
Selon les plans de renforcement militaire du pays face aux dangers de la Chine et de la Corée du Nord, le Kaga sera modifié pour devenir un porte avions et accueillir des F35[3].
Littérature
Le Kaga figure dans le roman "Rise of the Taishaku" (2018)[4].
Notes et références
(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « JS Kaga » (voir la liste des auteurs).
↑(en) « Japan’s second large helicopter carrier enters service », South China Morning Post, (lire en ligne, consulté le )
↑(en) « Izumo class : Japanese helicopter carrier », Naval forces, sur le site web de Military-Today (consulté le )
↑ a et b(en) « Japan Launches Latest Helicopter Carrier », sur USNI News (consulté le ).
↑W. Lee Radcliffe, Rise of the Taishaku, New York, Kindle, , 432 p. (ISBN978-1-9834-9123-8, lire en ligne)